Ce numéro d’hiver est léger, comme le temps qui passe, comme la bise d’hiver qui nous caresse les joues au bord de nos étangs, de nos sansouïres, ou même de notre méditerranée, du moins quand le vent fripon, le vent maraud, le vent furibond ne vient pas s’en mêler. Pardon de l’emprunt à ce bon...